Les pays en H dont l’équipe participe à la Coupe du Monde

Des statistiques froides, des noms qui claquent, des histoires qui s’entremêlent : la Coupe du Monde, c’est bien plus qu’un simple tournoi. Elle rassemble, elle divise, elle fait rêver ou grincer des dents, et certains pays dont le nom commence par la lettre “H” y ont laissé leur empreinte, parfois discrète, parfois éclatante.

Les pays commençant par H

Arrêtons-nous un instant sur le Honduras. Cette équipe venue d’Amérique centrale, peu habituée aux grands rendez-vous sportifs planétaires, a pourtant électrisé son public à plusieurs reprises sur la scène mondiale du football. Sa première apparition, c’était en 1982, lors de la Coupe du Monde en Espagne. Ce soir-là, on se souvient d’une équipe qui a tenu tête aux Espagnols chez eux, arrachant un match nul alors que les pronostics l’ignoraient totalement. Le Honduras a récidivé lors des éditions 2010 et 2014, décrochant à chaque fois une place parmi l’élite.

Pour y voir plus clair, voici les années où le Honduras s’est illustré :

  • 1982 : premier tour en Espagne, match nul mémorable contre le pays organisateur
  • 2010 : retour en Afrique du Sud, avec la volonté de prouver que rien n’est jamais écrit d’avance
  • 2014 : qualification pour le Brésil et nouveau défi face aux meilleurs

Hongrie

À une tout autre latitude, la Hongrie affiche un passé radicalement différent. Si le présent est plus timide, il fut un temps où la Hongrie portait haut les espoirs de tout un peuple dans les plus grandes compétitions. Impossible d’évoquer la Coupe du Monde sans se souvenir de la décennie 1950 : la Hongrie, surnommée « la génération des Magyars magiques », a fait trembler les favoris. En 1954, la finale face à l’Allemagne de l’Ouest reste gravée dans l’histoire. Malgré la défaite, ce parcours continue d’inspirer.

Année Performance
1938 Finaliste
1954 Finaliste

Le dernier grand coup de la Hongrie en Coupe du Monde date de 1986, au Mexique. Depuis, malgré de sérieux efforts pour se remettre au niveau et moderniser sa sélection, l’équipe peine à retrouver le devant de la scène. Mais l’attente d’un retour n’a jamais complètement disparu de la mémoire collective.

Qu’ils viennent d’Amérique centrale ou d’Europe de l’Est, le Honduras et la Hongrie partagent ce même élan : poursuivre leur quête et un jour, pourquoi pas, faire de nouveau vibrer la planète foot.

Les équipes qualifiées pour la Coupe du Monde

Liste des équipes qualifiées

À l’approche de la prochaine Coupe du Monde de football, la diversité sera au rendez-vous sur les terrains. Chaque nation qualifiée porte une ambition, un style, une histoire singulière. Voici celles qui s’apprêtent à prendre le départ :

  • France
  • Nouvelle-Zélande
  • Afrique du Sud
  • Fidji
  • Angleterre
  • Argentine
  • Samoa

Focus sur les équipes

La France accueille la compétition, avec une ferveur nationale qui ne laisse aucun joueur indifférent. Nouvelle-Zélande s’avance sous la houlette de Ian Foster, avec tout le poids de son histoire et l’image intimidante de joueurs comme Brodie Retallick, Sam Whitelock ou Beauden Barrett.

L’Afrique du Sud pourra compter sur des talents confirmés comme Handré Pollard ou Cheslin Kolbe, même si des blessures de dernière minute viennent parfois brouiller les cartes. Du côté des Fidji, Simon Raiwalui mise sur la puissance de Josua Tuisova et la vitesse de Semi Radradra. L’Angleterre, guidée par Steve Borthwick, s’appuie sur l’expérience d’Owen Farrell et la rigueur de Maro Itoje.

L’Argentine, avec Santiago Cordero et Matias Orlando, ne se contente plus de participer et vise plus haut, prête à bousculer l’ordre établi. Samoa, emmenée par Seilala Mapusua, veut surprendre à partir de sa force collective, portée notamment par Lima Sopoaga et Charlie Faumuina.

Calendrier et enjeux

La compétition s’étalera du 8 septembre au 28 octobre. Entre matches de poule souvent serrés et phases finales sans filet, chaque équipe devra saisir sa chance, sans le luxe d’un second essai. Le moindre détail comptera, la moindre hésitation pouvant tout chambouler.

Le parcours des équipes en Coupe du Monde

Les nations commençant par H

Dans cette édition aussi, deux formations dont le nom commence par “H”, Honduras et Hongrie, tenteront de jouer leur carte. Loin du rang de favorites, elles incarnent l’imprévu, prêtes à saisir leur moment sous la lumière quand la grande scène s’ouvre à toutes les surprises.

Les favoris et leurs défis

Nouvelle-Zélande nourrit sa réputation sur une base solide. Sous la conduite d’Ian Foster et avec des piliers comme Brodie Retallick, Sam Whitelock, Beauden Barrett, elle aligne onze rencontres sans défaite. Mais rien n’est acquis : une blessure soudaine peut tout remettre en cause, comme celle qui a frappé Retallick avant le coup d’envoi.

Afrique du Sud, détentrice du trophée, doit composer avec les absences de joueurs clés. Handré Pollard (souci musculaire) et Lukhanyo Am (blessure au flanc) feront défaut. Reste l’énergie de Cheslin Kolbe et la capacité de Siya Kolisi à rassembler les siens pour viser un nouveau sommet.

Les outsiders à surveiller

Derrière les grands favoris, certains outsiders tireront sans doute leur épingle du jeu. Fidji mise sur les qualités athlétiques de Josua Tuisova et Semi Radradra. L’absence de Ben Volavola laisse un vide, mais l’effectif recèle d’autres armes inattendues.

Côté Angleterre, Steve Borthwick doit s’adapter à l’absence d’Alex Dombrandt et de Henry Slade. Ce sont donc Owen Farrell et Maro Itoje qui devront, sans hésiter, endosser la responsabilité dans les moments les plus tendus.

Quant à l’Argentine, elle affiche une ambition claire : ne pas se contenter d’un simple statut de challenger. Avec Santiago Cordero et Matias Orlando, chapeautés par Michael Cheika, les Pumas entendent bien renverser la hiérarchie jusqu’au dernier carré.

coupe du monde

Les perspectives pour les prochaines compétitions

Les enjeux pour les équipes

À l’aube du tournoi, la Coupe du Monde s’annonce comme une arène féroce où chaque faux pas peut coûter cher. Les favoris savent pertinemment qu’aucune erreur ne leur sera pardonnée.

  • Nouvelle-Zélande : Les All Blacks visent à faire perdurer leur invincibilité et à décrocher une nouvelle récompense.
  • Afrique du Sud : Les Springboks vont devoir jongler avec les blessures pour espérer conserver leur titre.
  • Angleterre : Malgré plusieurs absents, les cadres devront maintenir l’équipe dans le haut du tableau.

Les outsiders à suivre

Derrière, d’autres rêvent de secouer la hiérarchie sportive.

  • Fidji : L’énergie de Josua Tuisova et Semi Radradra pourrait transformer chaque rencontre.
  • Argentine : Les Pumas, portés par Santiago Cordero et Matias Orlando, ambitionnent de brouiller les cartes et d’aller loin.
  • Samoa : Avec Lima Sopoaga et Charlie Faumuina, la sélection samoane nourrit l’espoir de surprendre à son tour.

Les espoirs des nations commençant par H

Le Honduras et la Hongrie, peu cités chez les observateurs, progressent chacun sur leur propre tempo. Malgré leur absence parmi les favoris, ces deux équipes nourrissent l’idée qu’avec une poignée de jeunes joueurs déterminés et le soutien sans faille de leurs supporters, elles pourraient bientôt conquérir un nouveau chapitre de la grande histoire du ballon rond. Parfois, les frissons de la Coupe du Monde surgissent là où on ne les attend pas : un “H” oublié sur la feuille de match, et tout bascule.

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